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La « taxe carbone » carbonise le développement durable !
05/09/2009 07:49
Personne ne doute de l’urgence d’une action globale, résolue et massive pour inverser un réchauffement climatique à l’œuvre depuis des décennies. Mais ce que l’on appelle « taxe carbone » ou « contribution climat énergie » est paradoxalement le plus mauvais service à rendre à ce combat essentiel.
A force d’instrumentaliser l’écologie pour des raisons électoralistes, le gouvernement est en train d’en faire le constat et, face à la résistance générale et légitime à cette fausse bonne idée, il risque de le payer au prix fort. Le vrai enjeu est effectivement de faire changer les comportements de nos concitoyens qui, d’ailleurs, y sont tout prêts, mais cela implique l’acquisition ou le renouvellement de produits et équipements. En particulier, il faut inciter et aider les Français à s’équiper le plus vite possible de produits consommant peu et rejetant peu de CO² : chaudières, voitures, isolation des logements, appareils de chauffage,… Tout cela passe par l’essor de nouvelles filières industrielles offrant aux consommateurs les produits de substitution nécessaires, sans quoi toute politique de « changement des comportements » ne resterait qu’un vœu pieux. Or, la taxe carbone dont il est question aujourd’hui ne permettra pas de relever ce double défi, ni celui du renouvellement des équipements lourds des particuliers, ni celui de la mise au point et de la généralisation de la foule de produits de substitution, puisqu’elle prévoit simplement de taxer les Français - notamment les classes moyennes et les ruraux déjà essorés par la crise - sans favoriser l’émergence des industries vertes de demain. En quoi alourdir la fiscalité sans permettre de consommer écolo va-t-il servir à la lutte contre le réchauffement climatique ? Ni la majorité, ni les bobos verts n’ont été capables de nous l’expliquer jusqu’à présent… Et pour cause, ce n’est pas de toute évidence l’objet de cette « taxe carbone » ! Et oui, n’oublions pas que l’Etat est forcément tenté de compenser, d’une manière ou d’une autre, la suppression de la taxe professionnelle, surtout dans un contexte de dérapage budgétaire qui a vu le déficit être multiplié par deux en moins d’un an… Bref, nous avons affaire à un impôt de plus, habilement (trop peut-être) enveloppé dans un discours pseudo-écologique, qui ne résoudra rien. Mais se contenter de critiquer ne suffit pas : il faut, à l’approche du débat parlementaire qui doit être l’occasion d’une remise à plat salutaire, proposer une vraie alternative. Avec les gaullistes de Debout la République, nous défendrons un projet global et ambitieux : - L’instauration d’un système de bonus-malus étendu au maximum possible de produits, pour renchérir ceux qui sont très polluants et rendre plus accessibles ceux qui le sont moins. - L’instauration de droits de douane écologiques aux frontières de l’UE, pour empêcher les entreprises européennes peu scrupuleuses d’aller produire dans les pays où l’on pollue sans vergogne avant de réimporter en Europe. - La création d’une taxe sur les superprofits des groupes pétroliers pour financer des transports propres et des programmes durables, et la mise au pas des constructeurs automobiles qui traînent des pieds depuis des années dans la généralisation du moteur propre, dont la technologie pourrait être rapidement mise au point. Michel Rocard a toujours été très doué pour inventer de nouveaux impôts, mais le problème de la France est justement qu’elle n’a jamais manqué de talents de ce genre ! La lutte contre le réchauffement climatique vaut mieux que la mise en place de nouvelles usines à gaz fiscales.
NDA
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Précision
04/09/2009 19:02
Aprés une rencontre informelle avec Mr Piret qui m'a expliqué le sens de sa pensée et reconnut l'erreur que sa syntaxe pouvait engendrer, nous exprimons notre satisfaction et affirmons n'avoir aucune animosité vis à vis du MoDem, que nous considérons comme un parti démocratique et républicain ayant toute sa place dans l'échiquier politique héninois.
PW
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Pamphlet
04/09/2009 12:05
Il faut qu’il parte
de Sébastien Lapaque
Pamphlet
Broché
Editeur : Stock
Parution : 30/04/2008
Broché
Nombre de pages : 134
« Je n’aime pas les communistes parce qu’ils sont communistes ; je n’aime pas les socialistes parce qu’ils ne sont pas socialistes ; et je n’aime pas les miens parce qu’ils aiment trop l’argent. »
Charles de Gaulle
Qu’arrive t’il a cette France où l’on fait du travail une valeur et où l’on accuse les précaires d’être responsable de leur sort ? Que sont devenus ces fils de « mai 68 » qui prônaient la liberté et qui aujourd’hui participent de tous les interdits ? Comment est – on arrivé à faire de la culture, fleuron de l’identité française, un simple produit de consommation ?
Tout cela s’est fortement accru depuis qu’un homme arrivé à la tête de l’Etat a décidé d’être l’incarnation du nihilisme d’une hyperclasse sans liens et sans terroirs. Une catégorie de nantis qui veut faire oublier à l’homme sa sociabilité pour qui le lien doit compter plus que le bien. Jamais nommé, cet homme est surtout attaqué violemment par l’auteur sur ces idées. Pas de bassesses, pas de secrets mais rien qu’un coup de gueule d’un écrivain non conformiste.
Avis de PW
Enfin, une réelle critique du Sarkozysme par un écrivain de droite qui ose dire très haut ce que pense la majorité des français... Un vrai bonheur que de lire un écrivain qui transcrit ce pense réellement le peuple de France qu’il soit de droite où de gauche. Un portrait au vitriol qui nous laisse à penser que décidément, ce Président n’est pas à la hauteur dela tâche que les français lui ont confié.
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L'âme de la France
04/09/2009 11:32
L’âme de
la France , Une histoire de la nation des origines à nos jours
de Max Gallo
Editeur : Fayard
Parution : 28/02/2007
Collection : Documents
Description : 608 pages; (24 x 16 cm)
EAN13 : 9782213630076
Présentation de l’éditeur
Qui connaît encore l’histoire de
la France ? On ne la raconte plus et on ne l’enseigne que par lambeaux. On l’accable bien souvent, sans entendre sa voix.
Max Gallo retisse cette trame millénaire qui a donné naissance à la nation française. Il suit les mouvements d’une immense fresque : des premiers hommes qui ont habité et peuplé de leurs songes les grottes du Périgord jusqu’à ce début de XXIe siècle. Il ne dissimule rien, ni la gloire ni le désastre, ni le rayonnement des Lumières ni les rapines et les saccages des armées conquérantes. Mais son récit va au-delà du portrait des grands acteurs et du déroulement des événements. Il montre comment, génération après génération, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, se sont constituées sur notre sol des manières d’être, de penser et de croire, d’éprouver, d’agir et de réagir, d’approuver et de se révolter, qui ont composé, touche après touche, l’âme de
la France.
Celle-ci est au cœur de ce livre. Max Gallo éclaire, par l’histoire, nos comportements, nos faillites, nos redressements et, en racontant la genèse de l’âme de
la France , il dévoile notre présent. On ne peut changer
la France qu’en ne trahissant pas son âme. Selon Renan, "tous les siècles d’une nation sont les feuillets d’un même livre". Ce livre, Max Gallo l’a écrit.
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Urgence sociale
03/09/2009 16:40
Urgence Sociale Un livre de Pierre Larrouturou
Editeur : Ramsay
Date de parution : 15/03/2006
Un constat sur la situation d’urgence sociale, un portrait réaliste de la caste politique, le tout dans un style clair, abordable pour tous. Egalement des solutions concrètes qui n’ont toujours pas été privilégiés par nos gouvernants
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